Décembre est le mois de la musique partagée. C’est le mois des chants de Noël, des disques que l’on ressort chaque année, des playlists qui défilent pendant que l’on décore le sapin. C’est le mois où la maison se remplit de sons familiers — et les enfants, plus que quiconque, les absorbent pleinement.
Mais dans cette atmosphère festive, une question revient souvent chez les parents :
Les enfants doivent-ils écouter uniquement de la musique pour enfants ? Ou peuvent-ils bénéficier d’une plus grande variété de genres ?
« Musique pour enfants », oui… mais pas seulement
Différentes recherches montrent que l’écoute musicale dès le plus jeune âge apporte des bénéfices cognitifs, émotionnels et linguistiques, quel que soit le genre, à condition que cela se fasse avec plaisir, engagement et partage.
Une étude publiée dans Scientific Reports a montré que les enfants participant régulièrement à des activités musicales développent de meilleures compétences linguistiques et auditives que ceux qui n’y participent pas. Et ce qui est intéressant, c’est que les activités musicales étudiées étaient variées, et pas limitées à un seul style.
Et il y a une raison très simple :
le cerveau des enfants est une véritable éponge musicale.
Plus ce qu’ils écoutent est diversifié, plus se construit leur carte sensorielle, émotionnelle et cognitive, jour après jour.
L’effet Mozart… et sa surprise inattendue
La culture populaire a longtemps véhiculé l’idée que la musique classique — et Mozart en particulier — rend les enfants plus intelligents. Cette idée vient d’une célèbre étude de 1993, dans laquelle des étudiants universitaires (pas des enfants) ont obtenu de meilleurs résultats à des tests spatiaux après avoir écouté pendant dix minutes la sonate K448 de Mozart.
L’étude a fait le tour du monde.
Les CD « pour développer l’intelligence » ont envahi les foyers.
Mozart est devenu un super-aliment sonore.
Mais l’auteure de l’étude, Frances Rauscher, a précisé des années plus tard une chose essentielle :
“L’important est que vous preniez plaisir à écouter la musique. Si vous détestez Mozart, vous ne bénéficierez pas de l’effet Mozart. Si vous aimez Pearl Jam, vous bénéficierez de l’effet Pearl Jam.”
Le message est clair : ce n’est pas le genre qui compte, mais le plaisir de l’écoute.
En conclusion : ne limitons pas le monde sonore des enfants
Il n’existe pas de « musique parfaite ». Il existe la musique qui plaît, qui émeut, qui stimule, qui rapproche.
Une bonne alimentation musicale est comme un beau Noël : riche, variée et partagée.
Et s’il existe un cadeau parfait pour accompagner les enfants dans ce voyage sonore — un objet qui leur permet d’explorer, de choisir et d’écouter en toute autonomie et sécurité — c’est Ocarina Player : un instrument conçu pour grandir en écoutant. Ce que vous préférez, bien sûr!





